Découverte de Battlefield 4 et Need For Speed Rivals [Compte Rendu]

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Ce n’est pas sans une certaine émotion que Juien Wera chef de produit senior chez Digital Illusions Creative Entertainment (DICE) nous a accueilli dans la salle de projection privée du très chic Royal Monceau à Paris en ce début du mois d’octobre. Seul français dans cette entreprise suédoise  (non il n’y a pas qu’IKEA en Suède), il était fier de présenter dans sa langue et son pays natals le résultat de son travail et celui de son équipe : le nouveau Battlefield 4.

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Tout d’abord dans la campagne solo il nous affirme que le scénario a beaucoup été travaillé ainsi que l’expression du visage des personnages grâce aux dernières évolutions du moteur Frosbite 3.Des boulevards de Shanghai, aux iles au large du Vietnam en passant par l’arrière pays chinois, l’Asie sera à l’honneur dans ce nouvel opus. L’interaction avec les décors est encore plus poussée non seulement pour la physique mais également  pour l’audio. Les détonations de votre arme seront différentes en fonction du lieu où vous trouverez par exemple.

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Pour le multi, Julien nous annonce qu’il pourrait en parler pendant plus d’une heure et demi mais pour nous éviter de bouillir d’impatience, il ne se concentrera que sur les éléments clefs :

Levolution, ce concept présent dans toutes les cartes du mode multi permet d’utiliser l’environnement  en fonction des choix tactiques des joueurs. L’action et les objectifs s’en trouvent alors modifiés.

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Par exemple en concentrant sa puissance de feu sur les piliers qui soutiennent un gratte ciel du centre de la carte, les joueurs pourront le faire s’effondrer changeant ainsi la topographie, le point de capture mais aussi la visibilité à cause de la poussière et des cendres. Encore il sera possible d’éteindre la lumière dans un bâtiment si l’on dispose d’un fusil à lunettes infra rouge. Cela vous donnera alors un avantage certain sur vos adversaires.

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Le battelog prolonge l’expérience de jeu sur consoles, mobiles et tablette. Par rapport à la précédente version, des éléments d’interaction supplémentaires ont été ajoutés :

  •  la possibilité de changer son équipement,
  • de personnaliser ses armes,
  • de faire office de second écran pour afficher la mini map façon Wii U,
  • la possibilité de lancer des défis en temps réels,
  • de vérifier son classement local ou mondial,
  • et enfin de trouver d’autres joueurs à défier à proximité de sa géolocalisation.

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– En mode commander durant le multi, le joueur n’est pas sur le champs de bataille. Stratège avec une vue du dessus, il coordonne son équipe, gère le soutien logistique en prévoyant des largages de munitions, d’armes ou de véhicules ou peut passer à l’offensive en demandant des frappes d’artillerie, de missiles tactiques ou d’EMP.

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Les consoles de nouvelle génération pourront gérer jusqu’à 64 joueurs avec un affichage à 60 images par seconde. Notre Julien s’enorgueillit visiblement de cette première dans l’histoire des consoles de jeux vidéo. Seule session où il est applaudi d’après ses dires, c’est un Julien touché qui nous invite à monter dans une salle comprenant une batterie d’ Xbox One en réseau sur lesquelles tourne Battelefield 4.

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Ma première impression est que graphiquement le jeu est vraiment impressionnant et d’une fluidité surprenante. La prise en main avec de la manette Xbox One est agréable et se fait naturellement. Malheureusement nous ne pouvions évoluer que sur une seule carte. J’aurai volontiers voulu en parcourir d’autres pour avoir un point de vue plus global mais assurément il faudra compter avec Battlefield 4 dans les FPS à posséder sur cette nouvelle génération de console.

Dans la salle mitoyenne, il était aussi possible de s’essayer à Need For Seed Rivals, le célèbre jeu de course poursuite du studio également suédois Ghost Games en association avec Critérion Games. Vu qu’il n’y a pas eu  présentation en salle de projection et qu’il n’était pas possible de prendre des photos d’écran, j’en ai déduit que le développement n’en était pas à un stade suffisamment avancé. NFS est un vieux compagnon de route, je jouais au tout premier Need for speed sur PC à l’époque. Marcus si tu me lis ;-)

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Dans la salle, nous étions totalement livrés à nous même. Malgré une petite frustration due au manque d’informations, je m’y suis essayé et j’ai bien retrouvé cette sensation de vitesse et d’adrénaline qui monte pour neutraliser les chauffards. Les bolides sont de toute beauté mais le décor est trop sobre à ce stade. L’interaction avec le jeu se faisait via la manette PS4 mais sans pouvoir voir la machine à laquelle elle était rattachée. J’avoue avoir cherché un temps le bouton Start. Ce n’est pas facile de rompre avec ses vielles habitude mais c’est aussi le secret pour rester jeune. Surtout qu’ en repartant de ce luxueux endroit, je me suis vu remettre un sac qui contenait un hoodie beige affublé du logo frosbit 3, ideal pour les soirées LAN de cet hiver et d’un press kit sous la forme d’une clé USB siglée EA.

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Silverword

Silverword Auteur

Critique de Cinéma, Spécialiste High Tech, Gameur old School, le Triangle Infernal

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