Battleborn faisait parti des jeux que j’attendais le plus. Avec un trailer impérial durant l’E3, la coop à la Gamescom où je ne voulais plus quitter la salle et une partie démentielle en PVP à la Paris Games Week, il me tardait de mettre la main sur le FPS créé par les détenteurs de la licence Duke Nukem.
Au premier coup d’œil, Battleborn affiche clairement sa filiation à Borderlands. Aussi bien dans le ton que dans l’aspect cartoon des personnages ou encore les décors très colorés, l’ADN de Gearbox Studio est bien présent dans cette nouvelle licence.
- le classique capture de drapeau en match à mort.
- l’incursion où il faut défendre son camp tout en organisant la destruction de la base adverse à l’aide d’un puissant robot.
- la fusion consistant à guider le maximum de personnage non joueurs alliés vers des autels sacrificiels.
Malheureusement le temps nécessaire avant de trouver suffisamment de joueurs est bien trop long. La baisse rapide et drastique du prix de jeu corrobore cette désaffection en dépit des qualités manifeste du multi comme l’a reconnu le PDG de Take Two Strauss Zelnick.
Battleborn
Disponible sur PS4, Xbox One et PC