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Tearaway sur PS Vita [Test]

2014-01-27-204850
Quand j’ai vu la présentation de Tearaway de Media Molecule lors de la conférence Sony à l’E3 l’année dernière, j’ai tout de suite identifié les codes qui me plaisaient déjà dans Little Big Planet le précédent hit incontournable de ce studio :

Immédiatement après je suivais sur twitter le compte @tearawaygame du studio Media Molecule pour me tenir informé de l’actualité du titre. Avec ses plus de 6000 abonnés j’ai compris que je n’étais pas le seul à être enthousiaste à propos de ce titre.


Iota ou Atoi (Iota à l’envers) est le personnage masculin ou féminin de papier avec une tête en forme d’enveloppe que vous devez piloter dans l’univers de papier qu’est Tearaway. La mission consiste à vous transmettre un message du monde virtuel jusque dans le monde réel. Mais pour cela il faudra résoudre un certain nombre d’énigmes, se faire aider par des alliés et se débarrasser d’une multitude d’ennemis.

Tearaway est donc typiquement un jeu de plateforme mais avec cette particularité qui le rend très attrayant : son interaction avec la PS Vita. En plus de manoeuvrer Iota avec les sticks directionnels de la PS Vita vous devrez également faire appel au gyroscope de la portable de Sony.


Votre visage fera parfois quelques incursions dans certaines scènes durant de votre périple grâce à la camera en façade et en tapant sur le pavé tactile situé au dos de la console, vous pourrez voir vos doigts apparaitre comme s’ils transperçaient le papier qui vous sépare du monde de Tearaway. Vous serez alors Vou, l’équivalent d’un dieu quasi tout puissant qui interagit sur certains objets et décors du jeu.

Héritée de Little Big Planet, vous aurez également la possibilité de personnaliser l’aspect de Iota en laissant votre doigt appuyé sur lui quelques secondes. En fonction des confettis que vous avez ramassé tout au long du jeu, vous pourrez accéder à un menu pour relooker votre personnage.

En plus d’un gameplay varié, sollicitant vos talents de photographe, de dessinateur voire même d’origamiste, on retrouve l’aspect merveilleux et poétique de ce titre jusque dans la musique entrainante presque médiévale ou d’influence celtique,  à base de flûtes, de guitares, de violons et de percussions.

Si l’on omet les quelques bugs de détection du pavé tactile que j’ai parfois rencontré, Tearaway effectue un quasi sans fautes. Orienté grand public, Iota peut mourir mais il n’y a pas de game over pour autant, la partie reprend un peu avant à l’endroit où vous avez échoué.


7 heures environ seront ainsi largement suffisantes pour en voir le bout. Si vous faites encore partie des indécis concernant la PS Vita, Tearaway qui rejoint Gravity Rush dans la liste des must have de cette machine est idéal pour vous faire découvrit tout le potentiel de la console portable de Sony.

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