Pour arriver à garder la forme, les objets connectés peuvent s’avérer très utiles mais dans ce domaine, le choix est plus que vaste. L’un des tous premiers à avoir cru à ce marché s’appelle James Park. En 2007, il fonde Fitbit dont l’activité se concentre sur les capteurs portables pour le sport et la santé. Avec son design étudié et une excellente visibilité dans les enseignes High Tech, le Flex avait su s’imposer face à la concurrence. Je me suis donc rendu à l’afterwork fitness organisé à l’Espace Cinko pour découvrir les nouveautés de cet acteur désormais incontournable du domaine. L’arc-en-ciel de bracelets connectés que l’on m’a présenté était composé de Fitbit Alta. Sa finesse n’excluant pas les petits poignets, il dispose d’un écran tactile et propose des fonctions classiques comme le nombre de pas, de calories brulées, l’heure et un point de la situation par rapport aux objectifs fixés. En contact avec votre smartphone, il peut recevoir les notifications d’appels, de SMS ou d’agenda. L’Alta propose un suivi et une analyse du sommeil et peut faire office de réveil en vibrant. Il ne faut le charger qu’au bout de 5 jours. Changer la couleur ou la matière de son système d’attaches est plutôt aisé. La seconde nouveauté concernait une montre également connectée dénommée Fitbit Blaze. En plus des caractéristiques de sa cousine l’Alta, elle propose un suivi de la fréquence cardiaque, la reconnaissance automatique d’activités et des vidéos d’exercices Fitstar. Certains participants n’ont d’ailleurs pas hésité à enfiler baskets et tenues de sport pour une séance de fitness videoprojetée. D’autres et en particulier les forcenés de la souris en ont profité pour parfaire leurs connaissances en matière de bien être. Ils ont été ravis d’apprendre que la position du chat au dos rond puis creux était très efficace pour soulager le cou et les épaules.
