Le bracelet est l’objet connecté le plus répandu de sa catégorie. Symbole de l’ouverture d’un nouveau marché, tout le monde a tenu à en commercialiser une version au point qu’il est devenu difficile de privilégier un modèle. En montant sa société Ironova, Yann Frachi a justement choisi de se démarquer.
Afin d’en savoir plus je me suis entretenu quelques instants avec son initiateur.
Quel est votre parcours ?
Je suis ingénieur financier, diplômé d’une école de commerce avec un master 2 d’économie financière. Mes stages à l’étranger ont changé ma vision de l’entreprenariat. Ma passion pour les nouvelles technologies m’a poussé à me lancer
Iro veut dire couleur en Japonais, pourquoi ce nom ?
Je suis fan de la culture nippone et de sa calligraphie. J’apprécie la beauté des idéogrammes notamment du kanji symbolisant la couleur.
Iro s’adresse entre autre à la communauté des gameurs qui n était jusqu’alors visée par personne. C’est pourtant une population qui doit bouger, le problème de sédentarité est réel. Les joueurs seront d’autant plus sensibles à une application dédiée et pensée pour eux. Du 2 contre 2, des couleurs affichant le niveau d’activité physique, récompenser cette dernière par des bonus au sein de jeux video partenaires sont autant d’ingrédients qui utilisent les codes du jeu vidéo et pourront motiver les joueurs.
Uniquement sur le site Ironova.com. Nous cherchons aussi à être distribué dans les magasins de type Micromania pout jeter un pont entre notre bracelet qui est un objet physique et les jeux vidéo qui sont de plus en plus dématérialisés.
Vous revenez du CES 2016 quels sont les produits connectés qui ont retenu votre attention ?
Ce ne sont pas des objets connectés mais un générateur d’hologrammes et un écran transparent comme celui de Minority Report m’ont vraiment impressionné
Avec un tel concept, tester sur quels jeux le bracelet connecté de la société marseillaise m’en fera voir de toutes les couleurs m’apparait incontournable.
à partir de 49,90 euros