Après la Gamer Assembly de Poitiers, l’autre rendez vous e-sport à ne pas manquer était la Dreamhack. Pour sa vingtième édition, l’une des plus grandes compétitions mondiales de sport électronique avait pris ses quartiers en France à Tours du 8 au 10 mai 2015. Dans l’impressionnant Centre International de Congrès, cette grande première est révélatrice de l’importance qu’occupe désormais le public français sur la scène e-sport. Au programme de ce festival numérique, 3 différentes zones étaient à découvrir :
La Dreamexpo où se dressaient les stands des partenaires de l’événement.
Les tournois en réseau DH BYOC où les joueurs emmenaient leur propre matériel pour disputer des parties d’HearthStone, Heroes of the Storm, Leagues of Legends, Battelfiels Hardline
l’Open où les meilleurs joueurs de Counter Strike et de StarCraft 2 s’affrontaient pour respectivement remporter les sommes de 40000 $ et de 25000 $
A la DreamExpo l’accueil que m’a réservé Jordan Reiss, le président directeur d’Astrogaming était bien sympa. Venu tout spécialement de San Francisco, il est l’inventeur du Mixamp. Il l’a mis au point après avoir constaté que durant les parties de jeu en réseau, les joueurs devaient crier pour communiquer entre eux. Maintenant ils peuvent économiser leur voix avec ce dispositif qui se chaine à volonté. Eric Rousset du site pure-gaming.fr en a profité pour me faire découvrir les casques filaires A40 et sans fil A50 de la marque que l’on peut acheter séparément ou avec le Mixamp. Fixées aux écouteurs par 4 aimants, les coques sont faciles à personnaliser. L’un des claviers présentés sur le stand Qpad, le Pro Gaming Gear ressemblait au Lobera de Tesora tandis qu’un autre me faisait penser au Zibal 60 de Mionix. Les comparer en situation réelle sera surement riche en enseignements. Après les claviers, viennent inévitablement les souris. Bien connu à Roxarmy, Roccat présentait son duo gagnant composé des souris Kova [+] et Kone Pure. Enthousiaste après l’événement Payday 2 : Crimewave Edition à l’hôtel Banke, je me suis attardé sur le stand de game-legends.com. Une grande partie de sa vitrine était consacrée au jeu des studios Starbreeze. A grand renfort de masques, de sacs de sport idéal pour transporter les grosses coupures et des non moins identifiables gants bleus en laine pour l’hiver, tout était réuni pour donner envie de les dévaliser. Arpenter les couloirs de la Dreamexpo m’a permis de parfaire ma culture dans le domaine des accessoires gaming. Dans mon prochain billet sur la Dreamhack, je brosserai les portraits des acteurs de cette fête tourangelle de l’E-sport .
